Plus de gestes,
Plus d’humanité.
Depuis 120 ans, le CASP héberge et accompagne celles et ceux qui en ont le plus besoin.
Par des gestes simples comme retrouver la chaleur d’un lit, prendre plaisir à cuisiner, se réapproprier son corps ou avoir le temps de découvrir et apprendre, chacun·e retrouve le pouvoir sur sa vie.
Vous aussi, changez la donne : faites un don.
👇
Vos dons ont un impact concret sur le quotidien des personnes accompagnées par le CASP.
Votre don de
20€
représente une semaine de couches pour un·e enfant en bas âge.
Votre don de
150€
représente une semaine de courses alimentaires pour une famille de 4 personnes.
Votre don de
350€
permet de financer un atelier jardinage dans l’une de nos structures.
Plus d’informations sur les dons en bas de cette page.
Hébergement, bien-être, emploi ou encore parentalité, les actions sont nombreuses et adaptables à chaque personne dont le chemin croisera les dispositifs du CASP.
Les chiffres clés du CASP*.
99 800
personnes accompagnées, hébergées & logées
120 ans
de lutte
contre l’inacceptable
85
structures, services et dispositifs
*données issues du rapport d’activité 2023
Pour un accès inconditionnel à l’hébergement.
L’accès à un hébergement, sans condition, est au cœur du projet du CASP.
Alors que l’année 2023 a vu le nombre de personnes hébergées et logées dans nos structures tristement exploser, les estimations 2024 du nombre de personnes sans domicile en Ile-de-France ne sont pas rassurantes.
Si l’accès à un hébergement est communément considéré comme un droit, on oublie souvent qu’avoir un domicile stable permet aussi de se reposer, de réfléchir et de libérer de l’espace mental pour redevenir acteur·rice de son quotidien.
🎤 INTERVIEW VIDÉO
On a parlé hébergement avec Fabien, mais le sujet a un peu dérivé sur les activités proposées au sein des structures et sur son expérience en tant que bénévole.
Par la suite, j’ai vu qu’il y avait tellement de choses à faire au CASP… Comment les gens aident… Ça m’a vraiment plu.
Fabien, est hébergé par le CASP.
• Je soutiens le droit à l’hébergement sans condition •
Accompagner la parentalité.
Afin d’accompagner au mieux les familles en situation précaire, différentes structures dédiées existent.
L’ESI Familles – Bonne Nouvelle, par exemple, propose une réponse sociale en journée à des familles sans abri en déployant des moyens médico-psycho-sociaux adaptés.
La Maison d’Accueil Églantine, elle, déploie depuis juin 2010 un projet singulier et atypique dédié à l’accueil de femmes enceintes ou avec enfants
en situation de précarité et sortant de l’hôtel.
Depuis juin 2023, la garderie itinérante Ohana se déplace dans les différents établissements de l’association, proposant ainsi aux parents en ayant besoin un service de garde d’enfants. Plus de 2000 enfants ont été accueilli·es par Ohana depuis son ouverture !
• Je soutiens les familles accompagnées, hébergées et logées •
La culture aussi devrait être un droit.
Ateliers créatifs avec des artistes, sorties culturelles ou visites touristiques, les personnes que nous accompagnons ont toujours beaucoup d’envies et d’idées lorsqu’il est question de divertissement culturel et artistique.
Démocratiser l’accès à la culture, c’est permettre aux personnes les plus fragilisées d’enrichir leur expérience culturelle et de créer du lien en dehors du quotidien.
• Je soutiens l’accès à la culture pour tous·tes •
Le jardinage pour sortir de l’isolement.
Les différentes structures d’hébergement proposent de nombreuses activités aussi diverses que variées, mais le jardinage a une place particulière au sein des pensions de familles, notamment Baron-Leroy.
Le jardinage est source d’estime de soi, on se projette dans le jardin, on se ressource, on discute avec les autres pépiniéristes en herbe – ou déjà bien épanoui·es. C’est aussi une manière de contribuer à la vie de la résidence et de participer au bien-être collectif.
🎤 INTERVIEW VIDÉO
Avec William, jardin rime avec passion ! Jardinier à la retraite, il a notamment travaillé au jardin de Belleville, il est résident d’une pension de famille. Découvrez son portrait dans la vidéo ci-dessous. Attention : bonne humeur garantie !
On travaille bien, on s’amuse. On fait un petit temps de jardinage et après on boit un café.
William, résident à Baron-Leroy, participe à l’entretien du jardin de sa résidence.
• Je soutiens les activités pour les personnes isolées •
La prévention sociale.
Toute l’année, les équipes de terrain de la prévention sociale parcourent les rues de Paris centre pour aller à la rencontre des personnes y vivant par une approche éducative.
L’objectif de ce travail de et en rue est triple :
– médiation sociale : diagnostique régulier du territoire et orientation des personnes (tout public) ;
– prévention jeunesse : prévention de l’inadaptation et des conduites à risque ;
– veille sociale et coordination du partenariat local.
• Je soutiens les actions auprès des personnes vivant à la rue •
L’accès au droit pour tous·tes.
Parmi les missions portées par le CASP se trouve l’accès au droit pour tous·tes.
Dans ce cadre, de nombreux dispositifs existent, autant accessibles spécifiquement aux personnes suivies par l’association qu’à toute personne ayant besoin d’aide juridique tels que les Points d’Accès au Droit (PAD) hors détention ou Le Temps des Cerises, un dispositif d’accompagnement à la parentalité dédié aux personnes sortant de prison.
🎤 INTERVIEW VIDÉO
Romain, chef de service PAD vous présente ces permanences juridiques 👉
• Je soutiens l’accès au droit pour tous·tes •
Avoir l’occasion de prendre soin de soi, un jour, refaire le geste de se maquiller, ça redonne confiance en soi et ça donne la force d’aller de l’avant.
Mariam, hébergée, participe aux ateliers de socio-esthétique.
• Je soutiens l’accès au bien-être •
L’importance du bien-être face à la précarité.
La précarité impacte fortement l’estime de soi, aussi, depuis plusieurs années maintenant, travaillons-nous avec des socio-esthéticiennes.
Soins du visage, massage des mains, ateliers de création de cosmétiques ou encore séance de maquillage, la socio-esthétique est une approche bienveillante et fondée sur l’échange et la prise en compte de la personne dans son individualité. Et les résultats sont sans appels : les participant·es en redemandent !
🎤 INTERVIEW VIDÉO
Découvrez la socio-esthétique grâce au témoignage de Lydia qui, en plus de ses régulières interventions au CASP, a tenu avec toute sa bienveillance et sa bonne humeur son rôle de maquilleuse pour le shooting de cette campagne.
Un environnement sain.
Vivre dans un environnement sain c’est, notamment, avoir accès à des sanitaires et une salle de bain équipée correctement ainsi qu’à une machine à laver et tout les équipements essentiels.
Cet été, certain·es enfants hébergé·es et logé·es par le CASP se sont réuni·es lors de la première session de Conseils des enfants du CASP, des groupes de paroles où les enfants peuvent s’exprimer librement. Ces conseils nous ont permis de récolter les besoins, demandes et idées des participant·es, que vous pouvez découvrir dans ce podCASP 👇
• Je soutiens l’accès à un environnement sain •
L’émancipation par le sport.
Acquérir plus de liberté peut avoir de nombreuses formes. Parmi les femmes accueillies à la Maison d’Accueil Églantine, une quinzaine a saisi l’opportunité d’apprendre à faire du vélo pour reprendre confiance en elles.
Grâce à l’association Cycl’Avenir et le programme En S’Elle(s), le joyeux groupe a suivi des cours tout au long de l’année 2022 avant de finir la formation en beauté avec une promenade au cœur de la capitale.
Au-delà de l’apprentissage strict du vélo, cette activité au long terme a permis aux participantes de gagner en estime d’elles-mêmes, de partager des moments différents du quotidien, de gagner en liberté de mouvement ou encore d’améliorer leur santé mentale grâce à l’activité physique et à la satisfaction de l’expérience.
• Je soutiens l’émancipation des femmes •
Ça m’aide à travailler et à augmenter mon niveau de mathématiques, de français et de conjugaison.
Maïmouna, élève de primaire, bénéficie du soutien scolaire proposé au centre social La Clairière.
• Je soutiens l’égalité des chances •
L’enfance, Grande Cause depuis 2023.
Face aux chiffres des enfants vivant à la rue toujours plus alarmants, le CASP a décidé de faire de l’enfance sa Grande Cause depuis 2023.
Après une première alerte dans l’espace public avec La chambre dans la rue, les actions de sensibilisation du grand public et des pouvoirs institutionnels n’ont cessé, et ne cesseront pas tant que des enfants dormiront dans la rue. Ainsi, à l’occasion de la Journée Internationale des droits de l’Enfant, l’Opération Culottée, collecte de couches soutenue par nos partenaires de la Ville de Paris, du Samusocial de Paris et de Solipam, nous a permis, une nouvelle fois, d’affirmer notre engagement envers les plus jeunes.
🎤 INTERVIEW VIDÉO
Quel est le rapport entre une ancienne salariée du CASP et une petite fille hébergée par l’association ? Découvrez la réponse dans cette vidéo !
(indice : on parle bénévolat et soutien scolaire 😉)
Cuisiner, c’est pas sorcier !
Pour satisfaire les envies et besoins des résident·es des structures d’hébergement, nous mettons tout en place pour proposer des cuisines collectives équipées au sein des résidences.
Cuisiner, ce n’est en effet pas uniquement se nourrir. Gain de confiance en soi, reprise de pouvoir sur son alimentation, découverte de goûts, partage de connaissance ou simple plaisir de partager un moment avec ses co-résident·es, chaque temps partagé est une multitude de sources de bien-être.
• Je soutiens les personnes isolées •
S’en sortir après la prison.
Depuis notre fusion avec l’ARAPEJ en 2016, nous proposons des actions visant à limiter la récidive après une incarcération.
Numéro Vert ARAPAEJ, Placement Extérieur ou encore centres d’hébergement dédiés, les actions destinées aux personnes sortant de prison, sous main de justice ou faisant l’objet d’une condamnation sont diverses et prennent en considération les spécificités de chaque individu.
🎤 INTERVIEW VIDÉO
Patrick bénéficie du Placement Extérieur au sein du CASP. Il a accepté de partager son parcours personnel avant, pendant et après incarcération.
• Je soutiens les actions justice •
Tout savoir sur les conditions fiscales.
Si vous êtes assujetti à l’impôt sur le revenu, vous pouvez en déduire 75% du montant de votre don, dans la limite de 1000€ (sur l’ensemble de vos dons).
Au-delà de ce seuil, le taux d’abattement est de 66% , dans la limite de 20% de votre revenu imposable.
300€ = 75€
Donner 300€ ne vous coûte que 75€ après déduction fiscale.